poésie triste

Versets de poésie tristes et puissants

Poème de tristesse de Nizar Qabbani

Ton amour m'a appris... à être triste

J'en ai besoin depuis des lustres

Pour une femme qui me rend triste

Pour une femme dans les bras de qui je pleure

Comme un moineau..

Pour une femme... un rassemblement de mes parties

Comme des éclats de cristal brisé

Apprends-moi ton amour, ma dame

Les pires habitudes

Apprends-moi à ouvrir ma tasse

Des milliers de fois par nuit...

Et j'essaie la phytothérapie.

Et je frappe à la porte des voyantes..

Apprends-moi... sors de chez moi...

Pour balayer les trottoirs

Et je poursuis ton visage…

Sous la pluie et dans les phares des voitures..

Et je chasse ton fantôme..

Jusqu'à... même...

Dans les journaux publicitaires.

Apprends-moi ton amour..

Comment puis-je errer pendant des heures ?

A la recherche de la poésie gitane

Toutes les femmes gitanes l'envient

À la recherche d'un visage... d'une voix...

Ce ne sont que des visages et des voix

Votre amour m'a laissé entrer, ma dame

Villes de chagrins..

Avant toi, je ne suis pas entré

Villes de chagrins..

Je n'ai jamais su..

Que les larmes sont humaines

Cet homme est sans chagrin

Mémoire d'un être humain...

Apprends-moi ton amour..

Agir comme un garçon

Pour dessiner votre visage..

Lire plus:Poésie triste sur la séparation

Avec de la craie sur les murs...

Et sur les voiles des pêcheurs

Sur les cloches..

Sur les croix

Apprends-moi ton amour..

Comment l'amour change la carte du temps.

Il m'a appris que quand j'aime..

La Terre arrête de tourner

Ton amour m'a appris des choses..

Cela n'a jamais été pris en considération

Je lis des histoires pour enfants...

Je suis entré dans les palais des rois djinns

Et j'ai rêvé que tu m'épouserais

La fille du sultan..

Ces yeux... sont plus clairs que l'eau des baies

Ces lèvres... plus délicieuses que les fleurs de grenade

J'ai rêvé que je la kidnappais

Comme des chevaliers...

Et j'ai rêvé que je lui donnerais

Colliers de perles et de corail..

Votre amour m'a appris, ma dame, ce que sont les bêtises

Apprends-moi comment passe la vie..

La fille du Sultan ne vient pas.

Apprends-moi ton amour..

Comme je t'aime en toutes choses

Dans les arbres nus..

Dans les feuilles sèches et jaunes

Par temps pluvieux.. par vent..

Dans le plus petit café..

Nous y buvons notre café noir le soir.

Ton amour m'a appris à me mettre à l'abri.

Pour les hôtels qui n'ont pas de nom

Et des églises qui n'ont pas de noms

Et des cafés qui n'ont pas de noms

Apprends-moi ton amour..

Comme la nuit magnifie les chagrins des étrangers..

Lire plus:Je suis fatigué de marcher sur un chemin différent

Apprends-moi... comment visiter Beyrouth

Femme... le tyran de la tentation...

Une femme... habillée tous les soirs

Votre plus belle mode

Et vaporise du parfum sur ses seins

Pour les marins... et les princes...

Apprends-moi ton amour..

Pleurer sans pleurer

Apprends-moi comment dort la tristesse

Comme un garçon aux pieds coupés...

Sur les routes de Raouche et d'Al-Hamra.

Ton amour m'a appris à être triste..

J'en ai besoin depuis des lustres

Pour une femme... elle me rend triste

Pour une femme.. je pleure dans ses bras..

Comme un moineau..

Pour une femme qui récupère mes pièces..

Comme des éclats de cristal brisés...

Un poème du poète Ali Mahmoud Taha

J'ai renouvelé mes rêves et mes nuits

Avez-vous quelque chose à dire sur ma jeunesse ?

Ô Kaaba de mon imagination et ermitage

Dans son ombre, j'ai récité mes vers pour Hassan

L'amour a les premiers poèmes que j'ai chantés

Lire plus:Il s'est senti trahi
Et la beauté est mon premier message

Tu es la vallée de mes rêves et je me suis levé et j'ai vu

Des incidents liés au spectre se produisent après une tragédie

Je me réfugie seul sur les flancs du rocher

Je pleure pour la soirée et les nuits passées

Les nuits qui ont suivi nous ont changé

Al-Awadi nous a laissé derrière lui après quelques jours

Coeur touchant par une nuit froide

Tes nuits lumineuses et lumineuses pleurent

Et les souvenirs du passé qu'il regarde

Entre les champs et les rives des lacs

Un poème du poète Ahmed Al-Maghout

Ô printemps sortant de ses yeux

Ô canari voyageant au clair de lune

Emmène-moi vers elle

Un poème d'amour ou un coup de poignard

Je suis sans abri et blessé

J'aime la pluie et le gémissement des vagues lointaines

Des profondeurs du sommeil je me réveille

Penser au genou d'une femme délicieuse que j'ai vue un jour

Boire du vin et réciter de la poésie

Dis à ma bien-aimée Laila

Celui à la bouche ivre et aux pieds soyeux

Je suis malade et elle me manque

Je remarque des empreintes de pas sur mon cœur

Damas, le carrosse rose des captifs

je suis allongé dans ma chambre

J'écris, je rêve et je regarde les passants

Du cœur des cieux

J'entends et empoche ta chair nue

Vingt ans que nous frappons à vos solides portes

La pluie tombe sur nos vêtements et nos enfants

Et nos visages étouffés par des toux sauvages

Elle a l'air triste comme un adieu, jaune comme la tuberculose

Et les vents solitaires des prairies

Nos chagrins sont transmis

Aux ruelles, aux vendeurs de pain et aux espions

On galope comme des chevaux sauvages sur les pages de l'histoire

Nous pleurons et tremblons

Et derrière nos pieds crochus

Le vent et les oreilles orange passent...

Et nous nous sommes séparés

Et dans tes yeux froids

Une tempête d'étoiles précipitées gémit

Toi, maîtresse ridée

Le même corps couvert de toux et de bijoux

tu es pour moi

Ce désir est pour toi, espèce de méchant

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