Poèmes d'amour

Poésie sur l'amour

Belle poésie sur l'amour. J'ai aimé ça alors je t'ai dit :

Quand tes yeux souriaient

Pour le silence de mon coeur

Mon cœur baigné dans la lumière dorée de l'amour

La brise volait calmement comme un papillon

Les petits ruisseaux chantaient

Elle sourit et se penche entre les rochers

Comme un garçon qui joue après les papillons

Parlez d'amour

J'ai levé mon regard vers le ciel

J'aurais aimé ne pas l'avoir fait

J'ai vu quelque chose qui m'a dérangé

J'ai vu ton imagination…..sourire

Le sourire d'un enfant qui a revu sa mère après des années d'absence

Je n'ai pas attendu que le vent vienne, repoussant les nuages

Pour retirer ce que je regardais de l'imagination du snack Suhar

Je voulais te dire au revoir alors...

Mais... soudain, j'ai été envahi par un sentiment... je ne sais pas

Je voulais effacer ces nuages

Je ne pouvais pas….

J'ai parcouru les mers pour attraper Snack... je ne pouvais pas

Elle m'a chuchoté au visage

Je voulais dire

Je t'aime

Oh sorcière, qui es-tu ?

Qui répand sa magie comme de la poussière entre les yeux et les paupières

Et souffler ses cheveux fous

من أنت?

Tu me cherches, mes blessures et ma folie

rapproche toi…

Et fais de tes cheveux un pont

Mon âme voyage jusqu'à toi. Comme c'est étrange qu'une femme invisible m'appelle

Lire plus:Une poésie étonnante

Chuchotant de loin...

Sa voix résonne au plus profond de moi

Ta voix gémissante m'a tué

Le monde qui t'est caché

Son image s'est infiltrée à travers les fissures de l'âme

Et de ces fissures tu verras

Le mouvement du cœur tombant sous le bâton de la tyrannie

Pensées sur la vie

Ma sorcière

Ô femme qui file ses cheveux au soleil

Pour la tristesse et le voyage à travers les rivières

Pour l'amour qui s'est mêlé aux âmes

J'ai levé mon visage innocent

Comme un oiseau tremblant sous la pluie

Dans le rêve, je me défonce

Blanc comme des nuages

Heureux comme un enfant

Le rêve merveilleux est

Toi

La journée est étrange

Dans les ports de la tempête

Et la mer rugit

Le soir, les bateaux

Mais je suis ancré sur l'aile de l'oubli

Un bois sans veines

Enflammé

Je ne t'ai pas ramené à mon cri

Et je pourris en t'attendant

Pour rêver de toi :

C'est gagner le courage de vivre

Mes poumons sont remplis d'un air de défi

Qui le croirait ?

Mon âme errante est capable de franchir ces distances

De l'obscurité et du doute

Et l'aventure t'atteindra

Qui croirait qu’elle en est capable ?

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Pour percer l'éternité

Les tombes sont créées comme des fenêtres sur la liberté

Liberté pleine de toi

Et dans un incroyable processus Israa

Dans un espace plein de dangers

Le fil de l'esprit fugitif sort

À ton cœur... errant

Avec son rêve difficile

Pour tisser l'amour blanc

Clair comme des nuages.

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