Divers littéraires

Règles funéraires d'Al-Albani

Dispositions funéraires

(1) Ce que le patient doit faire.

  • Le malade doit se contenter du décret de Dieu, être patient avec son destin et avoir de bonnes pensées à l'égard de son Seigneur, car cela est mieux pour lui.
  • Il devrait se trouver entre la peur et l’espoir, craindre le châtiment de Dieu pour ses péchés et espérer la miséricorde de son Seigneur.
  • Quelle que soit la gravité de sa maladie, il ne lui est pas permis de souhaiter la mort. S'il doit le faire, qu'il dise : « Ô Dieu ».

Donnez-moi la vie tant que la vie est bonne pour moi, et laissez-moi mourir si la mort est bonne pour moi.

  • S'il doit des droits, il doit les restituer à leurs propriétaires, s'il le peut. Autrement, il le recommandera, et une telle volonté devra être hâtée.
  • Il doit le léguer à ses proches qui n'héritent pas de lui.
  • Il peut léguer un tiers de son argent, mais il n'est pas permis d'y ajouter davantage, mais il vaut mieux qu'il s'en retire.
  • Deux hommes justes musulmans en témoigneront, et s'ils ne sont pas présents, deux hommes non musulmans en témoigneront.

Cela est considéré comme une preuve de chacun d’eux lorsqu’il y a un doute sur leur témoignage, comme indiqué dans le Coran.

  • Quant au testament des parents et des proches qui héritent du testateur, il n'est pas permis, car il est abrogé par le verset

L'héritage, et le Messager de Dieu, que Dieu le bénisse et lui accorde la paix, l'a clairement exprimé dans son sermon lors du pèlerinage d'adieu, en disant : Il n'y a pas de legs pour un héritier.

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  • Il est interdit de nuire dans un testament, comme par exemple de recommander que certains héritiers soient privés de leur droit à l'héritage, ou de préférence

les uns les autres dedans.

  • Un testament injuste est invalide et rejeté.
  • Étant donné que de nombreuses personnes à cette époque sont prédominantes dans l'innovation dans leur religion, en particulier dans...
  • Concernant les funérailles, il était nécessaire qu'un musulman recommande qu'il soit préparé et enterré selon la Sunna, et donc les Compagnons du Messager de Dieu, que Dieu le bénisse et lui accorde la paix, l'ont recommandé.

(2) Endoctrinement des mourants.

  • Si la mort s'approche de lui, la personne qui en est atteinte doit procéder comme suit :
  • Pour lui apprendre le témoignage
  • pour l'inviter,
  • Ils ne disent que du bien en sa présence.
  • L'endoctrinement, ce n'est pas évoquer le témoignage en présence du mort et le faire entendre, c'est plutôt lui ordonner de le dire autrement.
  • Pourquoi certaines personnes pensent.
  • Quant au fait de réciter la sourate (Yasin) avec lui et de tourner son visage vers la Qiblah, il n'y a pas de hadith authentique à ce sujet. Au contraire, Saeed bin Al-Musayyab n'aimait pas qu'il le dirige vers elle et a dit : « La personne décédée n'est-elle pas un musulman!?" "
  • Il n’y a rien de mal à ce qu’un musulman assiste à la mort d’un infidèle pour lui présenter l’Islam, dans l’espoir qu’il se convertira à l’Islam.

(3) Que doit-on aux personnes présentes après sa mort ?

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  • S’il passe le jugement et rend son âme, ils doivent faire plusieurs choses :
  • Fermer les yeux et prier pour lui aussi,
  • Le couvrir d’un vêtement qui couvre tout son corps.
  • Ceci s'applique à d'autres que ceux qui sont morts en ihram. Quant à la personne en ihram, elle ne se couvre pas la tête et le visage.
  • Hâter sa préparation et sa libération si sa mort est avérée.

Qu'ils l'enterrent dans le pays où il est mort, et ne le déplacent pas ailleurs, car cela contredit la précipitation ordonnée pour le faire.

(4) Ce qui est permis pour les personnes présentes et les autres.

  • Il leur est permis de découvrir le visage du mort, de l'embrasser et de pleurer sur lui pendant trois jours.

(5) Les proches du défunt doivent être informés de deux choses :

La première : la patience et la satisfaction du destin. La patience face à la mort des enfants a une grande récompense.

La deuxième chose : Ce qui est obligatoire pour les proches, c'est de revenir, c'est-à-dire de dire : (A Allah nous appartenons et à Lui nous retournerons).

  • La patience n’empêche pas la femme de s’abstenir de toute parure, en deuil de la mort de son enfant ou de quelqu’un d’autre.

Elle ne dépasse pas trois jours, sauf pour son mari, auquel cas le délai est de quatre mois et dix jours.

  • Mais si elle ne pleure personne d'autre que son mari, pour plaire à son mari et satisfaire son désir pour elle, alors c'est mieux pour elle.

On en espère beaucoup de bonnes choses, comme ce qui est arrivé à Umm Salim et à son mari, Abu Talha Al-Ansari, que Dieu soit satisfait d'eux.

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(6) Ce qui est interdit aux proches des morts.

  • Le Messager de Dieu, que Dieu le bénisse et lui accorde la paix, a interdit quelque chose que certaines personnes faisaient et font encore si un mort meurt, il faut donc le savoir pour l'éviter, il faut donc l'expliquer :
  • Gémir, c'est plus que pleurer
  • Frapper les joues
  • Poches fendues
  • rasage des cheveux
  • Publier de la poésie
  • Certains hommes laissent pousser leur barbe quelques jours par chagrin suite à leur mort, mais quand cela est passé, ils recommencent à se raser !
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